Dragon des Mers no Ludwig

 

 

Fiche d'identité.

 

Nom : Collygnies-Quatre-Coeurs  Prénom :Ludwig  Âge : 40  Nationalité : Belge, d’ancetres grecs  Camps : Marinas de Poséidon  Rang : Général  Armure : Dragon des Mers  Maître : Son oncle, puis un Marina inconnu

 

Caractère

Ludwig est décrit comme quelqu’un qui est « droit » et « juste » par ceux qui le connaissent. Il croit en la cause pour laquelle il se bat et son dévouement vis-à-vis de celui qu’il sert est sans reproche. Il n’hésitera pas a y laisser sa vie si besoin est.

Poli et courtois, il souhaite toujours la bienvenue à son adversaire tout en se présentant et il apprécie que l’on lui rende la pareille. Honorable, il fait toujours face à son adversaire et répugne les coups dans le dos et les personnes qui en font usage. Terrasser un adversaire sans défense il ne le fera jamais. Il sait également reconnaître sa défaite si le cas échéant. Si un combat devrait se dérouler dans un endroit avec des gens qui sont innocent dans le conflit, il fera au mieux de les protéger de ses arcanes et des ébats.

Mais il n’est pas que vertu. Tel un lion il croit en sa force et il possède beaucoup de fierté, qui se traduit dans sa démarche assuré et la tête qu’il porte haut et droite. Sa lignée est tout pour lui et Poséidon est « le » dieu par excellence pour la gouvernance de la Terre. Servir le dieu des mers n’est que la chose la plus naturel. Si cela doit se faire dans une grande purification, il en sera ainsi… Après tout, implorer la clémence de Poséidon contre cette purification n’aurait aucune raison, car ce serait déjà un acte divin venant de la part du dieu des mers.

En vers son frère cadet, il lui reproche particulièrement le fait qu’il s’est rallié au camp de la déesse Athéna, acte qu’il voit comme une ignominie et une trahison envers sa famille, sa lignée et lui-même L’en parler équivaux à déclencher la colère du Dragon des Mers. Il sait encore pardonner son penchant pour le bouddhisme, mais pas son allégeance à la déesse grecque.

 

Physique.

Sans son Écaille, Ludwig passe relativement inaperçu, se confondant facilement dans la masse. Il a les yeux bleus-gris et les cheveux châtain. Il possède la carrure d’un athlète et maîtrise plusieurs styles de combat rapproché, bien que sa prédilection se porte sur des attaques à distances et des attaques de Cosmos.

Quand il est de service, il porte son Écaille du Dragon des Mers. Avec cette protection vient également une longue cape d’un bleu profond à l’intérieur et d’un bleu plus clair à l’extérieur, ce qui lui donne de la présence. Une présence qui se trouve renforcée par l’ombre que son heaume projette sur ces yeux, dérobant son regard à tous ceux qui lui font face.

 

Histoire.

Ludwig est issu d’une famille d'ancienne noblesse qui sert le dieu Poséidon depuis L’âge mythologique. En effet, les membres de cette ancienne lignée sont tous les prétendants héréditaires et légitimes de L’Écaille du Dragon des Mers. D’origine grecque, la famille a quittée la Grèce pour s’installer dans la « Venise du Nord » durant le moyen âge et y est restée depuis.

Le futur Dragon des Mers faisait preuve d’une sensitivité au Cosmos depuis un jeune âge, ainsi que son frère cadet. Sa première manifestation tourna d’ailleurs au désastre, envoyant le garçon du voisin à l’hôpital dans une crise de colère à l’âge de quatre ans. Son éducation scolaire fut donnée par son oncle, lui-même enseignant et détendeur d’un Cosmos. Après avoir appris la maîtrise de son Cosmos, il reprit part aux activités de la société, terminant ses études (avec un diplôme universitaire à la clef). De famille aisée, il avait nul besoin de travailler et il décida de parcourir le monde afin de parfaire sa maîtrise du Cosmos auprès d'un ancien Marina et ancienne connaissance de la famille.

Il eut vent de l’usurpation du royaume sous-marin, la bataille du Sanctuaire, le débâcle D’Asgard qui conduit à la ruine des plans des Gémeaux, puis la défaite du dieu Hadès. Il suivait les événement de près. Vexé par le fait que le monde sombrait doucement sous l’emprise de la déesse de la ville haute, il jura sur sa lignée qu’il ferait tout dans son pouvoir afin de faire triompher l’empereur tout-puissant des mers et le souverain légitime de la terre.

Maintenant que Poséidon s’est réellement réveillé et qu’il à entendu l’appel de ce dernier, il aura enfin sa chance pour réaliser ce vœu.

 

Et vous ?

 Prénom : Lodewijk
 Âge : 38
 Des remarques ? Non.
 Que pensez vous du forum ? Un must pour les passionnés de Saint Seiya !
Qu'êtes-vous ? Une devinette, emballée dans un mystère, situé à l’intérieur d’une énigme.


 

 

  

Introduction :

L’Écaille du Dragon des Mers renvoie au dragon-dieu japonais Ryûjin, dont le nom signifie littéralement « Dragon-Dieu ». Ryûjin est le dieu des vagues, des tsunamis, des orages, des animaux marins, maître des saisons et du temps et seigneur des coraux. Étant un dieu marin mineur, il est assujettie  à L’Empereur des Mers, le dieu Poséidon.
Il vit dans  un palais sous la Mer du Japon dans un grand palais fabriqué de coraux blancs et rouges. Au centre se trouve la demeure à proprement parlée, tandis que quatre ailes complètent l’édifice. Les quatre jardins sont dirigé chacun vers un des points cardinaux et représentent chacun une saison, ce qui prouve sa maître sur le temps.

Fidèle à cette tradition, Ludwig à développé la plupart de ces techniques sur le corail. A l’instar du corail naturel, le corail du Dragon des Mers est « vivant », mais là s’arrêtent les similitudes. Le corail lui-même est un corail généré par le Cosmos du Général possède des propriétés surnaturelles. Ainsi, la capacité de trancher et de percer sont légèrement supérieur à celle du diamant taillé, tandis que la dureté et la solidité surpassent de loin celle du diamant.

Son attaque ultime, par contre, se base sur l’aspect temporelle et saisonnier de Ryûjin. Tout comme il y a quatre saisons, ainsi à-t-il quatre « vents » ou « tempêtes ». Chaque « vent » ou « tempête » possède des caractéristiques lié à la saison qu’elle représente, mais cela est expliqué plus en détail plus bas.
Pour finir, les saisons rappellent le passage et l’écoulement du temps et, par conséquent, le Dragon des Mers possède une technique liée à celle-ci, technique qui n’est pas entièrement inconnu (bien que différente) pour certains Saints D’Athéna.

 

Techniques :

Sango no ya :
Type : Attaque

(Jap. litt. Flèche de corail.)
Technique d’ouverture de prédilection, Ludwig utilise son Cosmos pour créer une énorme masse de corail à la vitesse de la lumière. Le corail se trouvant tout autour de lui, il envoie par la suite des échardes qui ont la longueur et la forme d’une pointe de flèche sur son adversaire. Le Dragon des Mers peut choisir d’envoyer une seule flèche, ou des milliers de flèches à la fois ; de façon interrompue ou continue ; localisé ou sous forme d’un vrai barrage de flèche qui s’abat sur la victime sur une grande superficie. La vitesse minimale est de 67 m/s et maximale de 300.000 km/s. De plus, il sait ajuster la taille des échardes jusqu’au point d’en faire des épées, même voir des lances. Il ne perdent rien de leurs capacités.

Les échardes de corail ont un tranchant supérieur à celle du diamant taillé et sont capable de percer et traverser les armures et autres protections du corps.
Cette attaque est particulièrement effective si utilisé conjointement avec le Sango no matsuri qui immobilise l’ennemi.


Sango no matsuri :
Type : Attaque

(Jap. Litt. Festival de corail.)
DDM crée du corail par le biais de son Cosmos. Ces coraux peuvent pousser à la vitesse de la lumière et se présente sous différentes couleurs, mais le plus souvent blanc et rouge.
Le mot « festival » de la technique renvoie au fait que le Gardien du Pilier Atlantique Nord peut utiliser le corail à s’infiltrer dans le corps d’un être humain ou d’un animal et en prendre le contrôle, bien que cela se limite à un contrôle purement physique et moteur. Ainsi, le corail peut restreindre les mouvements d’un adversaire, le forcer à faire des manipulation contre sa volonté, se frapper lui-même, etc. Littéralement faire exécuter l’ennemie un ‘festival de mouvements’.

Le point faible de la transmission de la pensée par son utilisateur que le porteur de L’Écaille du 18ième siècle à éprouvée, à été remédié par le présent Dragon des Mers. Le corail, renforcé par le Cosmos du Général, possède une dureté exceptionnelle qui est maintes fois celle de son équivalent naturel.


Sangokan :
Type : Attaque

(Jap. Litt. Cercueil de corail)
Le corail recouvre entièrement la victime, transformant l’infortuné dans une colonne ou statue de corail dans laquelle il meurt d’asphyxie ou par déshydratation ou par les deux si le Dragon des Mers le veuille ainsi. Déshydratation en effet, car par osmose le corail absorbe rapidement les fluides présents dans le corps qu’il a capturé, ne laissant par après qu’une carcasse sèche et pétrifié. Simultanément, le corail absorbe aussi le Cosmos de sa proie, cadeau perfide d la part du Dragon des Mers.


Dragon Wave :
Type : Attaque

Tout est dans le nom. Le Dragon des Mers invoque une tsunami constitué de corail en état semi-liquide et d’eau et présente en son centre une tête gigantesque de dragon à crête déployé, la gueule béante, tout en montrant ses crocs. La tête du dragon est composée de corail, d’eau et d’écume, sculptée de tel façon qu’elle semble n’être qu’une avec la vague. La tête en elle-même n’a donc qu’une valeur esthétique et artistique et sert principalement à impressionner, petite touche en guise de vanité de la part de Ludwig.
Par contre, le réel danger se trouve dans le tsunami. Cette vague géante entre 10 à 15 mètres de haut (21 au grand max) s’abat avec une force colossale sur l’ennemi. Mise à part de se faire écraser et broyer par la pression et l’énergie cinétique du tsunami, le corail entaille en même temps la protection et le corps de l’adversaire, le coupant de part en part. Tout comme un tsunami classique, l’élan entraîne tout ce qui heurte cette masse de corail et d’eau et peut, involontairement, stopper certaines attaques. Au minimum, sa force destructrice est égale à un tsunami naturel.


Dragon's Triangle :
Type : Attaque - défense

Le Dragon des Mers place ses mains à la hauteur de la poitrine et forme avec ses doigts un triangle. Dans ce triangle ainsi formé se forme une distorsion spatio-temporelle qui s’étend rapidement tout en gardant sa forme triangulaire. Une fois de la taille d’un être humain, le triangle est projeté vers l’adversaire qui se voit sombrer dans les couloirs de l’espace-temps.
Le Dragon’s Triangle peut aussi être utilisé comme moyen de défense. Son exécution reste le même, mais à la place de la lancer, le Dragon des Mers garde la distorsion devant lui et laisse ainse les attaques de son adversaire être « avalé » par l’arcane dans les méandres du temps.


Dragon's Mantle :
Type : Défense

Le Général use son Cosmos pour tisser autour de lui une protection en corail qui le recouvre entièrement comme une masse rocheuse et qui le protège de toute attaque. Le Dragon’s Mantle est une technique purement défensive et n’est pas capable de renvoyer un attaque vers son initiateur. Sous cette forme-là, le corail est pratiquement indestructible.
A l’intérieur de ce cocon, le Général peut régénérer ses blessures grâce à un effet inconnu inhérent au corail. Le Dragon’s Mantle peut aussi être utilisé sur une tierce personne afin de la protégée d’attaques et/ou de régénérer ses blessures.
Une rumeur non-vérifiée affirme, toutefois, qu’un froid très intense pourrait venir à bout de cette technique.


Shunkashûtô :
Type : Ultime

(Jap. litt. Les Quatre Saisons.)
Cette attaque ultime est directement lié à la légende concernant le dragon des mers japonais et ses quatre jardins qui représentent les saisons et le titre de "Maître des Saisons".

Cette technique se présente sous quatre formes différentes, « quatre tempêtes » :
Shunran : (tempête printanière.) Le printemps est la saison durant laquelle plusieurs pays souffrent de violentes tornades et cyclones. Comme le laisse suggérer le nom de l’attaque, le Général utilise son Cosmos afin de créer une tornade aux proportions gigantesques qui s’écrase sur son adversaire, balayant et fracassant tout aux alentours.
Karan : (Tempête d’été.) Le Dragon des Mers invoque par cet arcane toute la chaleur de cette saison ardente et inflige à sa victime une pluie incessante de feu, accompagnée d’une vague de chaleur ardente, transformant les alentours dans un véritable brasier infernal. Cette « tempête », dune température de plusieurs milliers de degrés, est capable de brûler à cendre un humain et de faire fondre de la roche et la plupart des métaux.
Shûran : (Tempête d’automne.) Pas vraiment une tempête, l’utilisateur laisse tomber sur son adversaire une pluie d’éclairs. La technique est simple, mais les éclaires ont suffisamment de force pour démolire une tour d’appartements.
Tôran : (Tempête d'hiver.) Cette attaque se manifeste sous la forme d’un blizzard violent de neige et de glace à très basse température (semblable à l’azote liquide) qui gèle l’adversaire et tout ce qui se trouve sur son passage.

La particularité du Shunkashûtôse trouve dans le fait que le Dragon des Mers a le libre choix dans la « tempête » qu’il souhaite invoquer, cela en fonction de son adversaire. Comme il se trouve sérieusement affaibli après son usage, chaque utilisation doit être minutieusement calculée afin d’éviter un coup d’épée dans l’eau.