Padma, le tranquille Saint du Lotus

 

 

Fiche d'identité.

 

Nom : Non-existant, (précédemment Collygnies-Quatre-Cœurs)  Prénom : Padma, (précédemment Florian)  Âge : 38  Nationalité : Belge, d’ancetres grecs  Camps : Saint D’Athéna  Rang : Argent  Armure : Lotus - aspirant pour l'armure d'or de la Balance  Maître : Virgo no Asuman, (Précédemment Rôshi Hisei Nobushige)

 

Caractère

« Celui qui est dans le monde, mais n’appartenant pas au monde ».
Cet axiome emprunté du Zen décrit bien le caractère de l’homme qu’est Padma du Lotus. Il est gentil et amical. Très ‘zen’, c’est un homme calme, serein et réfléchi, d’humeur égale et qui s’énerve que rarement (qui se présente parfois sous la forme d’un ronchonnement passager.)
Cette attitude qui semble être détachée de tout et de tout le monde lui vaut parmi quelques Saints et apprentis la réputation d’avoir pas d’émotions et d’être incapable d’en avoir, car rien ne l’émeut. C’est loin d’être vrai (Nobushige Sakura peut en témoigner), mais qu’importe : peu lui chaut. Il ne parle jamais, communiquant par le biais de son Cosmos ou par télépathie. Cette taciturnité lui permet d’augmenter naturellement son Cosmos en stockant ce dernier dans son corps. Doué d’une grande maîtrise de soi, on l’appelle « Le Tranquille ». Imprégné du Dharma, sa réplique favorite est "Tout n'est que Vacuité."

Son cœur bouddhiste est ouvert à tous. Il n’aime pas le combat et sacrifierait plutôt sa vie pour sauver des innocents. Il évitera de tuer son adversaire si possible. Si cela devrait arriver, il priera pour le salut de ce dernier. Il ne porte pas de haine envers eux. Il est doux envers ses subordonnés, amical avec ses pairs et respectueux envers ses supérieurs.

Vis-à-vis du  Bouddha et de son maître, Virgo no Asuman, il fait preuve d’une dévotion particulière et sans faille, ainsi qu’à la mémoire de Shaka. Preuve de cela est le fait qu'il appelle son maître Bhagavân, mot sanskrit qui veut dire approximativement "béni", "saint" ou encore "seigneur".
Dans ce Sanctuaire dédié à la déesse, il tient ferme à ses croyances et ses pratiques bouddhistes, chose qui ne passe pas inaperçue pour les rares Saints qui le remarquent ou y prêtent attention, dont un ou deux ne lui font pas confiance à cause de ça.
Il respecte ses vœux et rend journellement hommage aux Trois Refuges, bien qu’il ne soit plus un novice depuis sa nomination comme chevalier D’Athéna.

Il aime la musique classique (Beethoven en particulier) et adore la culture italienne et japonaise, dont il maîtrise la langue.

 

Physique.

Avec ses cheveux roux et ses yeux verts il ne passe pas inaperçu, mais si l’on fait abstraction de tout ça il est, en réalité, un homme comme les autres, n’ayant pas le physique qui fait tourner à tout va la tête des filles. C’est une chose dont il remercie la nature, car ça lui laisse le loisir de pratiquer le bouddhisme sans qu’on le dérange.
En civil, il est souvent vêtu du style indien, ce qui lui permet de porter au-dessus de ses vêtements (souvent léger) le samghâti, un linge couvrant la plupart du corps et qui ressemble à l’himation des anciens Grecs, qui se porte quelque peu comme la toge romaine.
Quand il est en service, il porte l’armure d’argent du Lotus, une des rares armures non dorée qui possède une cape. L’armure recouvre presque tout son corps et à des teintes violettes et pourpres.
Il porte un tilak blanc sur le front, ainsi qu’un mala (collier à 108 perles bouddhiste) autour de son poignet droit qui professent son appartenance à l’enseignement de L’Eveillé. Par une faveur spéciale de son maître, il peut garder son khakkhara (bâton de pèlerin) à six anneaux de bronze, qu’il utilise durant le combat comme extension de son Cosmos.

 

Histoire.

Frère cadet du Dragon des Mers actuel, Padma est moins puissant que ce dernier. Non pas par manque d’aptitude, mais à cause d’un sceau qui sert à garder en sourdine sa puissance jusqu’au jour où il aura apprit à le maîtriser au même niveau qu’un chevalier d’or.

Né Florian Collygnies-Quatre-Cœur, le futur Padma a toujours eu un penchant pour le spirituel. Précoce, il manifesta un puissant Cosmos tôt qui devait être scellé pour son propre bien. Il ne parle pas beaucoup de son passé. Il fût entraîné par Nobushige Hisei, un « rôshi » (vénérable ; un maître du Zen), au Japon depuis l’âge de sept ans. A douze ans, il fût ordonné unsui (novice du Zen) et rebaptisé Padma (lotus en sanskrit.) C'est pour cette occasion qu'il reçu de son maître son khakkhara à six anneaux. La perche est taillée du bois d'un arbre sacré, tandis que l'ornement et les anneaux sont fait de bronze sur lesquels sont écrit des sutras, ce qui confère du reiki ou énergie spirituelle à son bâton de pèlerin.  A vingt et un ans il part pour un long pèlerinage pour les hauts lieux bouddhistes. En Indes, il fit connaissance avec différentes "écoles bouddhistes" : le Mâdhyamaka, le Yogachara et une, non bouddhiste, du Kundalinî. Il intégra les différents aspects de ceux-ci dans son enseignement du Zen, comblant ainsi avec préceptes de l'un les lacunes de l'autre. Le résultat fût un mélange équilibré des quatre écoles. Ce pèlerinage se termina au Sanctuaire D’Athéna ou il devint le disciple de Virgo no Asuman, pour qui Padma a une grande dévotion et qu’il considère comme un bodhisattva.

Durant son apprentissage auprès de maître Nobushige, il fit connaissance avec la nièce de ce dernier, Sakura. Du même âge, ils devinrent vite amis et au fil du temps cette amitié se transforma en amour. Afin de tire au clair ses sentiments envers Sakura et son dévouement pour Bouddha, il décida de partir en pèlerinage. Peu de temps après, le vénérable homme meurt et Sakura devient la doyenne du petit sanctuaire Zen. Sakura maîtrise l’usage du katana et le tir à l’arc. Pour ces longs cheveux noirs à la coupe ‘hime’, ces yeux ambrés, ainsi que ses hanches et sa poitrine amplement développées pour une Japonaise, elle est considérée comme une étant très jolie. Elle affiche une mine sérieuse et sévère, calme et posée (sauf avec Padma qui connait un côté plus léger et souriante d'elle.)

Durant un voyage initiatique avec son rôshi Nobushige à l’âge de neuf ans, Padma fit connaissance avec un homme dans la ville de Kushinagar, dans L'Uttar Pradesj, Inde. Durant les quelques mois qu’il se sont côtoyés cette homme, caucasien au long cheveux blond, lui apprit deux choses : les bases pour la bhâva-shânta (atmosphère paisible et sereine dans laquelle il est possible d’entretenir des relations avec les bodhisattvas et les bouddhas) et une promesse : qu’en temps et en heure il parviendra au premier stade du salut grâce à la direction d’un nouveau maître et qu'il trouvera également sa vraie vocation sous son entraînement.
Cet homme disait vrai. Sous la tutelle de son maître Virgo no Asuman, Padma est parvenu au stade de Shrota-âpanna, « celui qui est entré dans le fleuve » et il ne sera plus, au pire, soumis qu’à sept réincarnations et est assuré de renaître à chaque fois dans une bonne condition d’existence afin de parvenir au salut.
Mais une Shrota-âpanna n’est pas entièrement délivré de ses passions et de ses désirs, ce qui pourrait avoir des graves conséquences…
… Conséquences dont Sakura et l’amour qu’ils portent pour l’un et l’autre pourraient, involontairement, en être la cause…

Mais faire atteindre à son disciple le stade du Shrota-âpanna n’est pas là la seule réalisation de Virgo no Asuman. En effet, Asuman a très vite découvert que le Cosmos de Padma est scellé et que ce dernier, à ce jour, n’en ai toujours pas conscient. Sans le sceau, Padma pourrait bien atteindre le niveau d’un chevalier d’or. Remarquant également un grand sens pour la justice dans son disciple, il le trouve un bon candidat-aspirant pour l’armure de la Balance vacante.
Asuman décide dès lors de donner à son disciple un entraînement tant bien mental que physique afin de lui inculquer la connaissance et la force nécessaire pour briser ce sceau et de le faire réaliser son vrai potentiel avec l'armure de la Balance à la clef, ainsi qu'un adepte bouddhiste vraiment accompli dans le Dharma. Un entraînement long et ardu commence…

 

Et vous ?

 Prénom : Lodewijk
 Âge : 38
 Des remarques ? Je tâcherais d’être ici le plus souvent possible.
 Que pensez vous du forum ? Laissez le libre cours à votre imagination Saint Seiya !!!
 Qu'êtes-vous ? Un sacré illuminé.


 

 

  

Introduction :

Padma du Lotus est depuis son plus jeune âge immergé dans la pensée bouddhiste. Il fût durant des années un novice dans le Zen, mais à depuis son adoubement comme Chevalier D’Athéna été obligé d’abdiquer de ce statut là. Parfois, il ressent une pointe de regret. Heureusement que ce n’est que passager, car au final, tout n’est que « Vacuité » n’est-ce pas…

Mais il reste ferme dans sa croyance et suit toujours l’enseignement du « Parfait » dans sa nouvelle carrière. Ce n’est pas pour rien qu’il est devenu le disciple du Chevalier d’or de la Vierge, Asuman et il a depuis peu revêtu l’armure d’argent du Lotus – fleur qui est étroitement lié au bouddhisme.
Il ne faut donc pas s’étonner que ces techniques sont également basés dessus.

 

Techniques :

Akuryou taisan :
Type : Attaque

(Jap. Esprits, disperse-vous !)
Technique issue du Tao et du Zen, elle est principalement utilisée durant des exorcismes, c’est la technique de prédilection du chevalier d’argent. Padma place sa main droite devant le visage, joignant l’index et le majeur, tandis qu’il forme un cercle avec les trois autres doigts. S’il porte son bâton de pèlerin, il le tient exceptionnellement dans la main gauche. Il récite les 9 syllabes du Kuji-in (Rin, Hyo, To, Sha, Kai, Jin, Retsu, Zai, Zen) et puis invoque l’arcane. Durant l’exécution de ce dernier il tend le bras vers son adversaire tout en conservant la mudra de sa main. Une vague de pression générée par son Cosmos frappe alors la victime, le repoussant avec violence en arrière. La pression est capable de broyer des os et d’endommager des organes, ainsi que briser les armures de bronzes et d’argent et autres protections équivalentes. Comme cette technique vise originalement de dissoudre l’essence même des esprits (reiki), elle dérobe temporairement l’adversaire de tout Cosmos (ou le rend temporairement inutilisable.)


Mâravijaya :
Type : Attaque

Sankr. Victoire sur Mâra (incarnation du Désir et du Mal)
Peut être exécuté assis, en padmâsana (position du lotus) ou debout. Avec sa main droite il fait le geste de la prise en témoin de la terre (Bhûmishparsha-Mudrâ), Visant l’index de celle-ci vers le sol (quand il est assis l’index frôle le sol). Debout, il lève son bras gauche dans laquelle se trouve son bâton de pèlerin au dessus de sa tête. Assis, son bras gauche se trouve à la hauteur de la poitrine, main tendue avec paume vers la droite. Le bâton se trouve à terre.
Le mudra clou l’adversaire à terre par une très forte pression gravimétrique, littéralement l’écrasant parterre, tandis que la main gauche sert à invoquer une puissante attaque d’énergie cosmique qui irradie de la personne de Padma, infligeant des centaines de jets par seconde et cela de façon continue. Les jets de de lumières cosmiques sont de couleur rose, rouge et blanc.


Ôm :
Type : Attaque

Syllabe primordiale du bouddhisme, le son qui à lui seul énonce la Vraie Réalité.
C’est une technique que Padma a apprise dans son intégralité par son maître, Virgo no Asuman. Initialement comme support qui permet à Padma d’augmenter  temporairement son Cosmos pour donner plus de punch à ces arcanes, le sage Saint de la Vierge lui a aussi apprit comment l’utiliser comme arme si nécessaire.

Le Cosmos récolté entre les deux paumes qui se trouvent face à l’un l’autre et libérée d’un seul coup sous la forme d’une explosion omnidirectionnel, terrassant les ennemis au alentour.


Tenbatsu :
Type : Attaque

(Jap. Litt. : Punition du Ciel, populairement : Punition Divine.)
Le terme désigne unanimement une sentence ou jugement prononcé comme une malédiction à l’égard d’une doctrine et/ou d’une personne, en occurrence la doctrine et la personne du Bouddha (et pour Padma également à l’égard de la personne et de l’enseignement de son maître, Virgo no Asuman.)
Le « seibai » constitue le plus puissant arcane de base non ultime de Padma du Lotus.
La technique en elle-même est d’une simplicité effrayante : une mandala se dessine sous l’adversaire et le paralyse, rendant toute fuite ou attaque impossible (sauf pour ceux qui n’ont jamais fait le mal et ont donc un cœur entièrement pur), tandis que six autres mandalas se dessinent au-dessus de lui (représentant les 6 Perfections du bouddhisme ou encore les 6 formes d'existences.) Puis, avec le bout de son kakkhara, Padma frappe le sol en évoquant le ‘tenbatsu’. La sentence ainsi prononcée produit une décharge de Cosmos qui part du haut vers le bas, commençant dans la mandala du haut et passant à travers les cinq mandalas plus basses. A chaque passage à travers la mandala du dessous, la décharge gagne en puissance. Au final, un vrai jet d’énergie et de Cosmos s’abat sur l’adversaire.
Sa puissance peut être augmentée en précédant cette attaque par le « ôm ».
Si Padma n’utilise pas son bâton de pèlerin, il fait usage de l’Anjali-Mudrâ. Les deux paumes sont pressées l’un contre l’autre à la hauteur de la poitrine.


Padmâbhûmi :
Type : Défense - attaque

(Litt. Terre de lotus.)
Cet arcane est invoqué par la prononciation de la syllabe « HUM », qui est une représentation sonore de l’immuabilité du corps et de l’esprit. La main droite s’élève à hauteur d’épaule, les doigts sont tendus et la paume est dirigée vers l’avant. Ceci est le geste de toute absence de crainte. La main gauche repose souvent sur les genoux, la paume vers le ciel. Par après, il reprend le geste classique de la méditation du style japonais (dos de la main droite se repose sur la main gauche, paumes dirigées vers le ciel tandis que les pouces et les index forment des cercles qui se touchent.)
Padma se trouve entouré par une grande bulle transparente aux vagues reflets blanches et roses, tandis que la bulle ressemble à une fleur de lotus dont les pétales se sont refermées sur son utilisateur, le protégeant contre toute attaque et isolant son initiateur du monde dans un havre de paix où il ne risque rien.
Dans différentes écoles bouddhiste nous trouvons des « terres » ou des « paradis », qui sont de nature transcendante et non géographique.
Padma, par contre, est capable de donner une « forme tangible » à cet état, qui se manifeste alors sous la forme décrite plus haut.

Le Padmabhûmi est une défense « offensive ». Padma est capable de renvoyer les attaques lancées sur sa bulle de lotus en prononçant la syllabe « ÔM ». A la force initiale de l’attaque est joint le Cosmos de Padma, augmentant ainsi la force de frappe. Les différentes utilisation du « ÔM » est le fruit de l’enseignement de son maître, Virgo no Asuman.


Mahâbodhi :
Type : Ultime

(Litt. Grande Illumination ou Grand Éveil.)
Le plus puissant arcane du chevalier du Lotus, il donne instantanément le salut, faisant entrer la personne au Nirvâna et la met hors état de nuire une fois pour toute. L’exécution demande un peu de préparation et du temps pour le faire. Heureusement pour Padma, le Mahâbodhi lui offre ce moment de répit. Pour lancer cette attaque il doit puiser une forme plus épurée du Cosmos, appelée « shakti ». Atteindre cette shakti ce fait par la pratique du Kundalinî-yoga.
Padma se met en padmâsana. Brûlant son Cosmos, il se met à léviter tandis qu’il récite trois fois le Mantra de Lumière qui réveille la shakti dont le « réservoir » se trouve à la hauteur du coccyx. En même temps, et pas si différent d’un ancien général de Poséidon, il crée une barrière invisible et impénétrable qui le protège durant toute la procédure, car il est dès lors sans défense. L’énergie parcourt par la suite les 7 chakras du corps et pour passer d’un chakra à l’autre, Padma est obligé d’invoquer leur syllabe. Une fois le dernier atteint et ouvert (syllabe Ôm), il libère toute l’énergie qui est en lui. Dans le ciel se dessine alors un grand lotus à mille pétales dirigé vers le bas et qui brille avec la lueur d’un diamant. C’est à ce moment là qu’il prononce à voie haute (libérant tout le Cosmos stocké dans son corps) le nom de l’arcane.
Des faisceaux de lumière descendent alors du ciel, couvrant une grande surface et « délivrant » quiconque se trouvant dans le champ d’action (sauf Padma qui est protégé par sa défense inhérente à cette technique.) Cette lumière rédemptrice et salvatrice dissout les 12 liens qui enchaînent les êtres vivants à la roue des réincarnations (en dissolvant par la même occasion le receveur), ce qui fait atteindre à l’ennemi l’éveil et donc le Nirvana.
Dans les yeux de Padma, c’est la plus belle forme de salut qu’un ennemi puisse recevoir du fait que son cœur bouddhiste est ouvert à tous, sans discrimination, par pure compassion.
Durant toute la partie méditative il place ses deux mains à hauteur d’épaule, les deux indexes dressés l’un contre l’autre tandis que les autres doigts sont croisés et les pouces se touchent, eux aussi croisés (c’es l’Uttarabodhi-Mudrâ). Quand il déclenche l’attaque il utilise un autre geste : les paumes sont tournées vers l’avant, l’index et le pouce de la main droite et le majeur et le pouce de la main gauche forment un cercle, tandis que tout le geste se tient à la hauteur de la poitrine.